[YT] Le system-mapping

Introduction

Kara: Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de Partielles sur la multiplicité dont le TDI, présentée par Epsi et Kara !

Aujourd’hui, on va parler de system-mapping ! C’est un outil accessible qui, vous allez le voir, peut être vraiment très, très utile.

Qu’est-ce que le system-mapping ?

Mais qu’est-ce que c’est ? Eh bien, c’est le fait de cartographier son système. Et comment on fait ? C’est ça qui est beau : comme on veut !

Mapper son système, ça peut se présenter de mille et une façons ! Rien que faire une liste des membres du système, c’est déjà du mapping.
Dessiner son innerworld ou faire des représentations des alters, c’est aussi du mapping.
Créer une playlist de musiques qui plaît à chaque alter, c’est aussi une forme de mapping !

En fait c’est assez simple : tout ce qui consiste à structurer les informations qu’on a sur son système, c’est cartographier son système, peu importe la forme que ça prend.

Avantages du mapping

Epsi: Le system-mapping a plein d’avantages.
Ça permet bien sûr d’avoir une idée plus claire des choses, plutôt que de tout garder en tête. Et ça permet de se souvenir des informations qu’on a ou qu’on a eues, ce qui peut vraiment aider quand on a de l’amnésie par exemple !
Mais ça permet aussi de développer sa communication interne. Eh oui, rien qu’en faisant une liste des alters de son système, on peut entendre des pensées comme “hey il y a moi aussi !” ou des sensations, du genre “là je sens qu’il y a quelque chose mais je ne sais pas encore quoi mais il y a quelque chose”.
Ça peut aussi aider à savoir qui on est en fonction des informations qu’on a sur l’instant T et qu’on peut comparer avec une map du système.
Mais ça permet aussi de savoir ce qui peut être travaillé ! Si par exemple, on fait une map des connexions entre les alters, on peut savoir qui communique facilement avec qui et qui aurait besoin de développer une communication avec qui.
Et puis vos maps peuvent être partagées avec d’autres personnes si vous le voulez, pour donner des infos à vos proches par exemple.
Et plein, plein d’autres choses encore !

Conseils utiles

Alors, avant que vous ne vous lanciez à fond dans vos maps, on va vous donner quelques conseils de base et retours d’expérience [rire]. Et ne vous inquiétez pas, on vous donnera après des outils pratiques pour faire des maps ainsi que des exemples concrets.

K: Le premier conseil qu’on donnerait, et c’est vraiment important selon nous, c’est de penser à mettre une date sur vos maps.
Même si vous n’avez pas de problèmes de mémoire, vous ne vous souviendrez peut-être plus du moment exact où vous avez fait telle ou telle map en retombant dessus. Et si vous avez de l’amnésie, c’est d’autant plus important de garder une trace des dates [rire].
Mais aussi, c’est super intéressant de voir le chemin parcouru, l’évolution du système ou en tout cas, l’évolution des informations qu’on avait dessus.
Bref, datez vos maps, vraiment.

Le conseil suivant concerne plutôt l’esthétique et la perfection de vos maps. En résumé : c’est ok que ça ne soit pas parfait et c’est ok que ça ne soit pas complet !
Commencez petit, idéalement ne cherchez pas tout de suite à faire une liste exhaustive de tous les membres du système avec toutes les données précises qui les concernent et toutes les connexions qui existent entre elleux, et toutes les zones du monde intérieur avec tous les détails, le tout sur une grande peinture à l’huile ou en sculpture sur bois ! [rire]

Vous pouvez tout à fait faire une liste sur un morceau de papier ou dans une note sur votre téléphone. Et vous pouvez l’étouffer plus tard ou en faire une nouvelle si ça devient trop brouillon. Ça n’a pas besoin d’être parfait ou magnifique, surtout au début. Si vous en avez envie, rendez ça joli hein ! Mais ne vous bloquez pas parce que vous avez l’impression que vous ne pourrez pas faire de map complète ou belle.

E: L’info suivante c’est : un système, ça évolue. Tout le temps. C’est normal qu’une map devienne obsolète ou incomplète très vite. C’est normal de devoir faire plusieurs maps ou de refaire des parties d’une map. C’est normal aussi de ne pas tout savoir dès le départ. C’est normal de ne pas être sûr-e.
Et ça ne doit pas vous empêcher de faire des maps. Même si vous n’êtes pas tout à fait sûr-e d’une info, même si vous savez que ça risque de changer. Le system-mapping permet de structurer les infos, de développer la communication, et potentiellement de débloquer des choses. Ne vous laissez pas freiner par des incertitudes, et déculpabilisez. Un système n’est pas figé, il évolue, bouge et se développe. Si besoin, utilisez un système de mapping qui permet de faire facilement des modifications. Et idéalement, qui permet de garder une trace datée des précédentes versions [rire].

Alors le conseil suivant concerne la communication. En faisant des maps, il est possible que ça ouvre une communication avec votre système. Il est possible que vous découvriez des choses sur le moment. Par exemple, vous pouvez entendre ou ressentir un nom popper dans votre tête sans savoir à qui ça appartient. Est-ce un nouvel alter ? Potentiellement. Mais oh ça fait peur ça ! [rire]Faire des maps, qu’il s’agisse de listes ou de Picrew par exemple, peut faire surgir des informations, même si le but de base était de structurer ce qu’on sait déjà. C’est normal. Le system-mapping est une forme de communication, il est possible que vous appreniez des choses en le faisant.C’est pas systématique mais ça arrive.
Comme on le disait juste avant, notez les infos même si vous n’êtes pas sûr ou même si c’est flou, c’est ok. Et encore fois, non ça ne veut pas dire que vous inventez ! Vous développez simplement une forme de communication.
Et pareil, si vous sentez qu’il y a quelque chose mais que vous ne pouvez pas mettre de mot dessus, marquez qu’il y a un blanc, ça vous aidera peut-être à faire des recherches plus tard.

En parlant de communication, le point suivant est aussi très important selon nous. Respectez toujours le consentement des membres de votre système. Si un ou une alter ne veut pas être sur une map et vous le fait savoir, ne mettez pas cet-te alter sur votre map.
Ça peut se manifester par un « non » en pensée ou par un sentiment de négation, une sorte de non-envie, ou même une incapacité à écrire son nom ou à s’en souvenir au moment de le noter.
Vous pouvez éventuellement, si vous en avez la capacité, lui demander pourquoi et lui apporter du soutien ou du réconfort s’il s’agit de peur par exemple. Mais dans tous les cas, peu importe la raison pour laquelle cet-te alter ne veut pas être sur une map, et même si vous ne connaissez pas cette raison, respectez son choix.
C’est d’autant plus vrai d’ailleurs si votre map vise à être partagée ! Que ce soit à un ami, une proche, votre thérapeute ou autre. Respectez vraiment le consentement des autres alters.

K: Enfin, derniers petits conseils utiles, priorisez les informations qui comptent pour vous. Il y a des systèmes qui mappent leur système en mettant le nom, l’âge, la date de naissance, le genre, le signe astrologique, le MBTI, l’apparence physique, la couleur préférée, les goûts, etc… Si vous n’avez pas envie de faire tout ça, ne le faites pas, tout simplement. Mappez ce qui est important pour votre système, tout le monde est différent.
Si vous mappez les triggers de tout le monde, pensez à garder votre map en sécurité. La sécurité c’est un conseil général bien sûr, ne partagez vos maps qu’avec des personnes de confiance, mais voilà, gardez les triggers négatifs en sûreté. Par contre, si vous mappez les triggers positifs, les moyens d’ancrage, etc… de chaque alter, bah ça peut être utile pour vous faire un plan de sécurité voire pour partager avec des proches si besoin !
Bref, faites des maps avec ce qui vous compte pour vous, faites attention à votre sécurité et n’oubliez pas que vous pouvez utiliser vos maps comme vous voulez, elles sont à vous et votre système.

Ah et dernière chose : si vous pouvez, n’hésitez pas à noter, quitte à faire une map spéciale pour ça, le moment et les circonstances d’arrivée ou de découverte ou de redécouverte de chaque alter. Et datez chaque entrée [rire]. C’est pas une obligation bien sûr mais ça pourra potentiellement être utile à l’avenir.

Voilà, ça c’était pour les conseils, surtout basés sur notre expérience et des retours d’autres systèmes. Maintenant, voyons quelques outils pratiques pour faire vos maps !

Outils pratiques

Le plus simple, enfin en fonction de vos possibilités évidemment, ça reste de faire des listes. Que ce soit à l’écrit sur papier ou via un téléphone, sur un ordinateur, dans un Drive, une app spéciale pour faire des listes ou autre, c’est la façon la plus simple de commencer à faire des maps.
[Apparait à l’écran : un bloc-notes d’illustration.]

Après, il est possible de donner un peu plus de structure. À nouveau, que ce soit sur papier ou via un moyen numérique, une app ou autre.
On peut par exemple faire du mind-mapping, ou carte mentale, pour indiquer qui est connecté-e à qui dans le système, ou qui se trouve dans quelle partie de l’inner.
[Apparait à l’écran : app « Mindly (mind mapping) » et une carte mentale d’illustration.]

Si vous voulez, vous pouvez aussi partir sur un principe de ligne du temps. Vous notez chaque alter sur la ligne en fonction de son origine ou du moment où vous l’avez trouvé-e par exemple. Attention toutefois avec les timelines, ça peut être très bien pour structurer, notamment si vous avez envie de mapper les événements de votre vie par exemple, mais ça peut éventuellement trigger des souvenirs traumatiques. Prenez bien soin de vous.
[Apparait à l’écran : une ligne du temps d’illustration.]

Vous pouvez sinon utiliser des trucs en quelques sortes dédiés à la multiplicité qui permettent de faire facilement du mapping. On pense bien sûr à l’app Simply Plural, qui permet d’enregistrer chaque membre de son système et des infos à son sujet, de faire des sondages intra-système, des historiques de front, etc… et on pense aussi à Pluralkit, le bot de Discord pour lequel on a fait une vidéo, je vous la glisse dans le « i ».
Les deux peuvent vraiment être complémentaires, d’autant qu’il est possible de partager les données entre les deux. On peut avoir un serveur Discord personnel où les alters peuvent noter des infos, discuter, etc… et faire des salons avec des données.
[Apparait à l’écran : les logos de l’app « Simply Plural » et du bot « Pluralkit ».]

E: Mais il est aussi possible de détourner des trucs qui ne servent pas à ça au départ. Comme on le disait, des app de mind-mapping par exemple. Mais aussi, pourquoi pas, matérialiser son innerworld ou même les alters dans un jeu comme les Sims ou Planet Zoo, ou via d’autres moyens de modélisation.
[Apparait à l’écran : les logos des jeux Sims et Planet Zoo.]

En parlant de modélisation, le dessin est bien évidemment un moyen de faire des maps ! Mais aussi ce qu’on appelle le faceclaim, c’est-à-dire utiliser des images dédiées ou non pour représenter ses alters. Il peut s’agir de photos, d’images, de dessins mais aussi, on en a déjà parlé, de sites comme Picrew ou des apps comme FaceApp, qui permettent de personnaliser des images ou des photos.
[Apparait à l’écran : l’url https://picrew.me et l’app « FaceApp: Éditeur de visage ».]Petit conseil en passant : perso, au début, j’étais pas à l’aise de chercher à identifier vraiment l’apparence des alters de mon système. C’était trop difficile et brumeux, ça me faisait un peu peur alors que je n’y arrivais pas. Ce qui m’a débloqué, c’est d’utiliser l’app KittCat. Elle permet de personnaliser des petits chats. Bah voilà, ça a aidé à me dire “ah, tel alter a les yeux verts ? Et elle, elle a les yeux bleus ?”, et petit à petit j’ai pu faire des Picrew [rire].
[Apparait à l’écran : app « KittCat Story: Cat Avatar Maker ».]

Enfin, il y a des systèmes qui aiment ou sont plus à l’aise avec d’autres trucs plus personnels, qui aiment bien faire des modélisations de leur innerworld en 3D, en pâte à modeler ou en broderie par exemple.
[Apparait à l’écran : app « Floor Plan Creator ».]Il y aussi des systèmes qui font du mapping via des galeries Pintarest ou des playlists de musique.
Tout ça pour dire qu’il y a vraiment plein, plein de façons de faire ! Voyez ce qui vous convient et convient à vos alters, testez des trucs, gardez ce qui fonctionne et laissez ce qui ne fonctionne pas, comme toujours.

Exemples concrets

K: Ok, maintenant, on va faire des exemples pour vous montrer concrètement comment on peut faire du system-mapping. Pour ça, on va faire un système fictif, peut-être un peu basé sur la réalité, peut-être pas [rire].

Le mieux pour commencer, c’est les listes, alors faisons une liste.
Si vous êtes perfectionniste et que vous avez l’impression que vous pourrez jamais noter toutes les infos ou si vous avez l’impression que ça prend trop de temps ou que ça va prendre trop de temps, un truc qui peut aider c’est de se mettre chrono de 5 minutes, ou plus en fonction du nombre de membres de votre système, mais de vous mettre un chrono et de noter le plus d’infos possible dans ce temps imparti. Pas du tout dans l’optique de tout noter mais oui, soit pour vous motiver soit pour avoir un cadre qui pourra un peu essayer de passer outre votre perfectionnisme.
Et là en notant le maximum d’infos comme on le disait, notez tout ce qui vous vient, notez tout ce qui semble important pour vous et il sera temps plus tard de trier les infos, de les remettre dans l’ordre et d’en faire quelque chose de plus structuré.

Dans notre exemple, c’est ce que j’ai fait après. Et moi j’ai choisi de faire ça relativement joli mais c’est parce que j’avais le temps et l’envie, et voilà, mais c’est absolument pas une obligation.
Évidemment, j’ai daté. Pour pouvoir s’en rappeler, c’est important. Et voilà, j’ai renoté les infos que j’avais de façon un peu plus structurée et j’ai ajouté des faceclaims, donc des illustrations, des représentations des alters, et dans ce cas-ci, j’ai utilisé Picrew.

En parlant de Picrew, on a fait une liste sur Google Drive – je vous mets le lien en description – qui reprend des Picrew que nous, on trouve chouettes et qu’on a déjà utilisés. Parce que vu qu’y en a énormément, c’est parfois difficile de trouver un peu des choses chouettes. En arrivant sur le site, y a je ne sais pas combien de centaines de pages. Et on aimerait que cette liste devienne collaborative, et donc on va faire en sorte que chaque personne qui veut modifier la liste puisse. Et donc bah faites attention, on compte sur vous pour que vous ajoutiez vos Picrew préférés et pas pour que vous supprimiez ceux des autres. [rire]Voilà, je vous mets vraiment le lien en description, ça peut vraiment être cool parce que, bah par exemple c’est parfois compliqué de trouver un Picrew avec des visages plus enfantins pour faire des littles, ou plus anthro pour faire des non-humains, voilà.

Mais pour aller encore plus loin, pour avoir plus d’infos sur chaque alter, y a plein d’autres possibilités. Par exemple, vous auriez pu répondre à une liste de questions – ça aussi je vous mets une liste avec plein de questions à se poser en description, et cette liste est hyper longue, c’est évident que vous allez pas répondre à tout, enfin peut-être mais je ne pense pas, et c’est pas grave, c’est ok, le but c’est d’avoir des idées de questions à se poser, des idées de questions à poser à l’alter et pour essayer, de fil en aiguille, d’apprendre plus d’infos, et pas un truc super strict [rire].
C’est pareil, plus tôt dans la vidéo, je vous donne des exemples d’apps, c’est des exemples, c’est des applications qu’on a testées et que je trouve cool mais y en a plein d’autres. Et n’hésitez pas en commentaires à échanger vos apps et vos trucs et astuces sur comment vous avez mappé vos systèmes et sur ce qui fonctionne pour vous.
Vous pouvez aussi, dans ce principe-là, demander à chaque membre du système avec lequel vous pouvez communiquer de dire quelque chose à propos de l’alter dont vous cherchez à avoir plus d’infos. Ça peut améliorer la communication et faire des chouettes moments de communication et de conversations – je dis conversation mais quel que soit le biais.

Vous pouvez aussi faire une carte mentale par alter, en notant le nom de l’alter au milieu et de ce centre, essayez de faire plein de connexions et d’en dire le plus possible, par exemple en répondant à des questions sur c’est quoi le rôle, quand est-ce que l’alter est arrivé, qu’est-ce qu’il aime, qu’est-ce qui le trigger, … et essayez de relier les choses entre elles pour essayer d’en savoir le plus possible.

Vous pouvez aussi faire des cartes mentales plutôt globales, par système, pour par exemple – et c’est juste un exemple – mettre en évidence la communication et les connexions entre chaque membre. Par exemple, là sur l’exemple, j’ai mis comment la communication était, donc si elle était bonne, neutre, mauvaise, ou si y en avait pas du tout bah j’ai pas fait de trait ; et si la communication était bizarre – je sais pas si vous voyez, ces exemples où y a parfois des gatekeepers qui peuvent communiquer avec tout le monde mais qui communiquent en même temps avec personne, eh bah j’ai mis une couleur en plus parce que ça semblait pertinent. Mais c’est en fonction de vous et de vos systèmes. Là dans le système fictif qu’on a fait, y a pas de sous-système, mais ça aurait très bien pu être un ensemble dans un ensemble. Tout le système là fictif qu’on a fait – “fictif” pas parce que c’est que des alters fictifs hein, parce que c’est un système fictif, je sais pas si c’était clair [rire] – aurait pu être réentouré dans un rond et à côté, il y aurait pu y avoir un autre rond composé d’autres alters.
C’est vraiment chouette de passer par les cartes mentales pour voir les connexions parce que c’est plus facile de faire des petites lignes que de noter “Bidule communique avec Machin, Machin, Machin, Machin, Machin, Machin”, ce qui peut être très brouillon – même si je dis pas que les cartes mentales ça peut pas être brouillon. Voilà.

Une autre possibilité aussi, c’est une ligne du temps. Et là si je peux vous donner un conseil d’expérience, c’est de marquer peu d’informations sur votre ligne du temps et de, par un code couleurs, noter les informations plus loin. Là par exemple, j’ai juste mis le prénom des alters à leur arrivée présumée, plus ou moins. Si je sais plus précisément, je mets et si je sais pas, tant pis. Et j’ai fait une page où on peut noter toutes les infos, tout ce qu’on a, et là dans ce cas-ci – mais une fois de plus, c’est juste un exemple -, le code couleurs dépend de la ligne de couleur de la ligne du temps pour pouvoir un peu rajouter des infos au fur et à mesure et pouvoir garder sa ligne du temps dans le temps. N’hésitez pas, à chaque fois que vous rentrez un nouveau truc dans votre ligne du temps, à noter la date à laquelle vous l’avez rentré. De pouvoir noter de plus en plus d’infos, et pas de se sentir limité-e par le fait que la ligne du temps va devenir toute étriquée et moche.

Aller plus loin

Pour aller plus loin encore après ça, vous pourriez essayer de mapper des points plus précis ou basés sur des choses qui pourraient être améliorées. Par exemple, si une communication est mauvaise entre deux alters ou entre deux groupes d’alters, il peut être possible de chercher à mapper pour savoir pourquoi.
Mais on verra ça dans une prochaine vidéo. Merci beaucoup d’être resté-es jusqu’ici, on espère que ça vous a plu et que ça vous donnera des outils en plus pour mapper vos systèmes. On se retrouve un dimanche sur deux sur Youtube et le reste du temps sur les réseaux sociaux, et à bientôt !

Liens utiles

• Vidéo Plan de sécurité : https://www.youtube.com/watch?v=wS757e6qZRM
• Vidéo Pluralkit : https://www.youtube.com/watch?v=9vPWB6FNcFE
• Picrew (liste collaborative) : https://bit.ly/3OJIptU
• Liste de questions : https://www.partielles.com/tpa-apprenez-a-connaitre-vos-alters/